PURE-BLOOD ⊰ and kill them allD. Satine GauntPSEUDO : klém. PARCHEMINS : 20 ICI DEPUIS : 20/04/2012
| Sujet: (M) L. LERMAN ∆ Oh your mouth is poison, your mouth is wine. Ven 20 Avr - 19:16 | |
| Lorcàn C. (Potter) ❝ the Order NOM : Potter. ( à voir, en fonction des disponibilités ) PRÉNOM(S) : Lorcàn Cillian. ASCENDANCE : Sang-mêlé, en priorité de la famille Potter si possible, sinon d'une autre famille résistante. ÂGE : 22/21 ans. ANCIENNE MAISON : Au choix, sauf Serpentard. PROFESSION : Auror. PETIT PLUS : Au choix.
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❝ mauvaises intentions LE CONTEXTE, LE GENOCIDE : Lorcàn est totalement révolté envers le monde magique. Penser au génocide des né-moldus l’écœure et fait naître en lui de violentes pulsions. Il n’a jamais pu adhérer à ces idées sur le sang et elles le mettent hors de lui. A Poudlard, à cause de sa langue bien pendue et de son côté rebelle, il s’attirait d’ailleurs pas mal de problèmes. C’est son désir de combattre ces injustices et ce monde nécrosé par le mal qui l’a poussé à rejoindre l’ordre à sa sortie de l’école de magie. Il s’y est d’ailleurs très vite intégré, partageant de nombreuses idées et points de vues similaires avec les autres membres de ce dernier. Il est prêt à tout pour faire changer les choses, quitte à mettre sa propre vie en danger - à développer plus par le joueur. • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • HISTOIRE : L’histoire est partiellement libre, pour que vous puissiez vous sentir à l’aise avec le personnage, mais je vais quand même indiquer certains points qui me tiennent à cœur . → Si possible, il vient de la famille Potter ou une autre famille résistante des lignées du forum, sinon il viendra d’une famille de sang-mêlé. Cette dernière sera une famille résistante. → A Poudlard, il n’avait pas de très bonnes notes en raison de son sang, malgré un talent évident, ce qui le frustrait énormément. Il enchainait les punitions et les retenues en raison de son comportement rebelle, voire même un peu sauvage. → Il n’a jamais été un coureur, loin de là, cette attitude le répugne. → Il s’est rendu compte qu’il est amoureux de Satine depuis ses quinze ans, il a eu cette révélation au cours de sa cinquième année. Il a essayé de l’oublier avec une ou deux autres filles, mais ça n’a jamais marché. → Il est devenu Auror, ce qui était son désir depuis toujours. Bien qu’il travaille donc de ce fait pour le Ministère, il voit plutôt dans son métier un moyen de s’endurcir, de gagner en puissance et donc d’être plus efficace au moment opportun, au cas où une révolution arriverait.
❝ I don’t have a choice but I still choose you. Lorcàn et Satine. Satine et Lorcàn. Une histoire de haine, une histoire d’amour comme on en rencontre peu. Ils se sont rencontrés au cours de leur première année à Poudlard et autant avouer tout de suite qu’ils se sont haïs au premier regard. Après tout, ils étaient tout ce que l’autre détestait. Il était un garçon farouche, qui refusait l’injustice de sa situation et qui avait – autant le reconnaître – une grande gueule et elle, la froide et moqueuse sang-pur qui le prenait de haut. Les murs de Poudlard tremblaient sous leurs cris et leurs disputes. Et bien sûr, quand cela arrivait, ça finissait toujours par retomber sur le pauvre garçon, qui en raison de son statut « inférieur », était toujours celui qui était puni. Et ça avait le don de le frustrer et de l’énerver au plus haut point. Il avait juste envie de tordre le cou de cette petite prétentieuse pour lui faire payer tous ses affronts. Ils passèrent les trois premières années à Poudlard à se faire les pires crasses mais petit à petit, avec l'arrivée de l'adolescence et tout ce que cela implique, les sentiments et autres désirs commencèrent à venir compliquer les choses. Lorcàn ne pouvait s'empêcher de se dire qu'il trouvait ses lèvres attirantes et de se demander quel goût elles pouvaient bien avoir ou encore, si elle voyait quelqu'un sans qu'il ne le sache. Il rêvait d'elle la nuit et d'une manière quelque peu indécente. A ce désir premier, qu'il reconnut en quatrième année, vinrent s'ajouter des sentiments sincères et amoureux. Il était le seul à remarquer parfois ce regard perdu dans le vide, cette hésitation, ce moment de doute que nul autre ne pouvait percevoir. Il avait l'impression, la sensation qu'il y avait deux Satine. La froide Serpentarde qui s'affichait devant tous, et une autre fille plus authentique, plus fragile qui étouffait derrière le masque que son nom la forçait à porter. Et plus il était convaincu de cela, plus il tombait amoureux d'elle. C'est en cinquième année qu'il se rendit compte de ses véritables sentiments et ces derniers le désarmèrent totalement. Lorcàn était réaliste, il se doutait qu'être avec elle ne serait jamais possible. Qu'elle ne voudrait pas de lui, qu'il allait juste mourir d'amour. Il tenta de l'oublier en sortant avec quelques filles, en vain. C'était comme si elle était dans sa peau. Elle était gravée en lui. Les choses s'empirèrent entre eux à cette époque et les échanges devinrent encore plus violents et mesquins : de son côté parce qu'il était fou de rage et de douleur à cause de ses sentiments, et du côté de Satine car, même si elle se l'avouait pas, elle était jalouse. Elle commençait à se rendre compte qu'elle ne voulait pas le partager avec une autre. C'est en septième année que tout dérapa entre eux. Alors qu'il était parti - énervé après les derniers A.S.P.I.C - prendre à manger dans les cuisines de Poudlard, il finit par croiser la brune et face aux provocations de cette dernière, il finit par l'embrasser sauvagement. Ne faisant pas grand cas du coup de poing de cette dernière qui suivit, il la réembrassa de nouveau et la voyant céder, ils partirent vers l'amour dans une salle de classe vide. - Spoiler:
Le son des talons de la jeune fille résonnait dans le couloir alors qu’elle avançait en direction de la salle commune des Serpentards. Elle venait de passer le dernier examen pour ses A.S.P.I.C et elle était pleinement satisfaite d’elle-même. Et pour cause, elle avait vraiment donné le maximum d’elle pour obtenir le meilleur résultat possible. Elle n’aurait guère été satisfaite si elle n’avait obtenu de bonnes notes qu’en raison de son statut. Non, Satine tenait à ce que l’on reconnaisse sa brillance, à ce que l’on soit impressionnés par ses talents. Et il en avait toujours été ainsi. Enfin presque, si l’on considère que sa vie a débuté le jour de l’apparition de ses pouvoirs magiques. Son père – son illustre père, que dis-je ! – n’avait jamais été très démonstratifs, loin de là. Il était plutôt du genre glaçon ambulant qui ne se soucie pas de sa progéniture, sauf si c’est pour la rappeler à l’ordre. Et autant dire que les neuf première années de sa vie, la brunette le fut régulièrement. Un mot flottait dans les esprits de tous en la voyant et une peur commune envahissait ses parents et les rendait fous de rage à son égard : « Cracmol ». Une honte dans le monde magique. Et ils vivaient dans la hantise que Satine ne vienne entacher le noble nom des Gaunt ainsi que celui des Lestrange en en étant une. Quelle humiliation cela serait, plutôt mourir que de vivre sans pouvoir ! Mais heureusement pour elle et après une confrontation bien éprouvante avec un serpent, les choses s’étaient améliorées et elle avait prouvé à tous que c’était bien le sang des Gaunt qui coulait dans ses veines et qu’il valait mieux ne pas l’échauffer. De cette époque pour le moins éprouvante, la brunette avait gardé donc ce traumatisme et cette phobie de l’échec qui la poussaient à toujours montrer le meilleur d’elle-même, quitte à écraser les autres au passage. Ces autres d’ailleurs s’écartaient sur son passage, ne voulant pas avoir affaire à elle, et elle ne mit pas longtemps à rejoindre les cachots sombres du château, désertés en ce mois de mai chaud et ensoleillé par les autres élèves. Mais pas elle, non. Elle préférait la tranquillité de son dortoir où elle pourrait replonger dans la lecture d’un de ses ouvrages favoris et s’isoler un peu du monde pour quelques instants.
Du moins c’est ce qu’elle pensait faire, jusqu’à ce que sa route ne croise celle d’un jeune homme. Vous avez déjà entendu l’histoire d’Eve et de la pomme ? Ce fruit tentateur, ce péché exquis qui lui était interdit ? Eh bien, c’était un peu la même chose. Sauf que dans cette version de l’Histoire, Satine niait totalement l’attraction qu’elle ressentait envers sa propre tentation, la déguisant sous un voile de dégout, de mépris et surtout, d’orgueil. Il ne mit pas longtemps à la remarquer et il darda alors ses prunelles bleues comme l’océan dans les siennes, un duel des plus féroces s’engageant entre eux. Ce n’était un scoop pour personne qu’ils se haïssaient et depuis la première année, leurs disputes faisaient trembler les murs du vieux bâtiment. Elle continua à avancer, s’apprêtant à le dépasser et à le snober par la même occasion. Mais elle ne fut pas assez rapide et bientôt, sa voix tranchante comme la lame d’un rasoir retentit à ses oreilles, comme une première attaque qu’elle ne pouvait ignorer « Alors Gaunt, heureuse d’avoir fini tes examens où même si tu as écrit de la bouse de dragon, tu seras reçue de toutes les manières ? » Se retournant dans la direction de son adversaire, elle vint se planter devant lui alors qu’elle lui offrait son sourire le plus mesquin « La jalousie te fait bien pendre la langue, tu sais. » « Que je suis meilleur sorcier que toi et que juste en raison de ton sang tu auras des meilleures notes que moi ? Oui je le sais. » « Non. Sache que tu n’es rien. Rien du tout qu’un petit cafard, peu importe la nature de nos sangs ça ne change rien à ça. Et que tu ne seras jamais à la hauteur, quoique tu fasses. Mais va-y, prouve moi que j’ai tort. Sors ta baguette magique et montre-moi de quoi tu es capable, j’en tremble de peur ! Montre-moi de quoi tu es capable !» Elle le fixa intensément, le mettant au défi alors qu’un lourd silence s’installait entre eux. Finalement, alors qu’il ne faisait rien, elle eut un petit sourire supérieur alors qu’elle s’apprêtait à partir de nouveau, lui lançant une dernière pique assassine « C’est bien ce que je pensais. Tu ne seras jamais qu’un petit minable de seconde zone. » Cependant, elle n’avait pas fait un pas qu’elle se retrouva plaquer durement contre le mur froid de pierre, un bras sous sa gorge, le visage furieux de son vis-à-vis à quelques centimètres du sien. Etonnamment, cela la fit éclater d’un rire froid et moqueur alors qu’avec un regard toujours rempli de défi et une voix goguenarde, elle reprenait la parole. « Que vas-tu faire alors maintenant ? Me tuer ? » « Non. Pas encore. » La voix avait été rauque et intense, et sans que rien ne le laisse penser, il plongea sur les lèvres de la brune, les dévorant férocement avec les siennes. Elle fut d’abord surprise par cet assaut, et elle sentit son corps s’embraser à ce contact. Plus, elle en voulait plus. Elle voulait se fondre en lui, fondre dans cette chaleur étouffante, l’embrasser, le mordre, le griffer. Elle le voulait, lui. Et elle sombrait quelque peu dans cette passion charnelle qui commençaient à prendre possession d’elle. Un élan de lucidité la rattrapa cependant, et elle le repoussa, lui administrant une droite phénoménale en pleine joue, un bleu ne tardant pas à se former sur la joue du jeune homme alors qu’un peu de sang coulait sur sa joue. Mais il ne semblait pas s’en rendre compte alors qu’il la dévorait d’un regard fiévreux, la serpentarde perdue mais farouche, commençant à s’époumoner sur lui « Pour qui tu te prends pour te faire ça ? Qui t’a permis de… » Mais elle n’eut jamais l’occasion de finir sa phrase alors qu’il fondait de nouveau sur elle avec un baiser ardent auquel elle tenta une nouvelle fois de résister un instant avant d’abandonner toute résistante, alors qu’il l’entrainait dans une salle de cours vide qu’il referma derrière eux pour qu’ils puissent laisser libre cours à cette passion dévorante et interdite, à cette pulsion presque animale qui les envahissait sans qu’on ne vienne les déranger…
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« Il faut qu’on parle. » « Il n’y a rien à dire, c’était une erreur. » La jeune fille était en train de remettre sa jupe alors qu’il la fixait avec attention. Elle ne comprenait pas comment elle avait pu faire une telle chose. C’était contre ses principes, c’était contre sa conception des choses. Elle ne comprenait pas pourquoi elle avait cédé. Elle n’avait pas compris pourquoi, contrairement à d’habitude, elle n’avait pas su être maitresse d’elle-même. Ce garçon était dangereux pour elle, elle en prenait conscience désormais. Elle avait toujours cru que ce qu’elle ressentait pour lui n’était que dégout et haine. Mais aujourd’hui, elle comprenait que ce n’était pas que ça. Et ça lui faisait peur, même si elle aurait préféré se trancher la gorge que de l’admettre. Satine ne croyait pas en l’amour, pour elle ce n’était qu’une fantaisie pour les naïfs, une chimère pour les rêveurs. Mais il y avait quelque chose entre ce garçon et elle, quelque chose qu’elle devait tuer dans l’œuf avant que cela ne devienne une source de problèmes. Elle s’était déjà totalement rhabillée qu’il n’avait enfilé qu’un sous-vêtement et alors qu’elle tentait de partir, il s’interposa entre la porte et elle pour l’en empêcher. Elle tenta de le contraindre à se pousser, en vain « Arrête ce petit jeu, Satine. Tu sais qu’il y a quelque chose entre toi et moi, après ce qui vient de se passer aujourd’hui, tu ne peux plus faire semblant. » « Dégage. » « Tu le sais aussi bien que toi, nous… » Elle éclata d’un rire froid qui fit se taire le jeune homme alors qu’elle lui répondait d’une voix glaciale, et avec hauteur « Nous ? Mais il n’y a jamais eu de nous et il n’y en aura jamais. Tu ne comprends pas ? Tout ceci, ce qui vient de se produire, ce n’était qu’un jeu pour moi. Une petite partie de plaisir, rien de plus. Ne me dis pas que tu as cru qu’il se passait réellement quelque chose entre nous ou que tu es spécial pour moi ? Tu crois réellement que tu es le premier avec qui je m’amuse à ça ? Oh mon dieu, c’est tellement hilarant ! Ce que tu peux être naïf. Tu n’as été qu’un petit jouet de quelques instants. Très agréables – certes – mais maintenant c’est fini. Donc, dégage de mon chemin. » Un gros mensonge, cruel comme pas deux, mais qui lui sauvait la mise. Il la regardait complétement choqué et saisissant la chambre qui s’offrait à elle, elle le contourna rapidement pour quitter la pièce et partir d’un pas vif en direction de la salle commune où il ne pourrait pas la suivre.
Quatre ans, quatre ans depuis cet instant fugace de libertés et la jeune fille en rêvait encore parfois. Quelque chose s’était fissuré en elle ce jour-là. Elle n’était plus toute à fait la même, ses certitudes s’étaient ébranlées. Elle avait ressenti des choses qu’elle n’arrivait pas à oublier aujourd’hui encore. Elle essayait pourtant, à corps perdu, mais c’était vain. Comme toute cette histoire.
Après cet épisode, elle mit de la distance avec ce dernier et l'évita comme la peste, alors que lui au contraire, essayait de la confronter. Il voulait des réponses, il voulait comprendre pourquoi elle lui avait fait ça. Il mourrait d'amour pour elle et elle semblait juste lui rire au nez. Pendant trois ans, ils jouèrent à ce petit jeu, jusqu'à ce qu'il apprenne que la jeune femme était fiancée à un vieux sang-pur. Il rentra dans une colère noire ce jour là. Il savait qu'une telle chose finirait par arriver mais il ne pouvait pas se faire à l'idée que les choses puissent se finir comme ça, qu'ils n'étaient pas fait pour être ensemble. Il voyait bien son regard fuyant mais illuminé quand il était là, il sentait bien le coeur de la jeune femme s'emballer dans sa poitrine quand il essayait de la prendre dans ses bras, il se rappelait bien l'ardeur qu'elle avait mit dans ses baisers cet instant magique où ils n'avaient été plus qu'un. Il ne comprenait juste pas pourquoi elle faisait tout ça, pourquoi elle se laissait enfermer et piéger volontairement par son statut. Pendant un an, ils ne se virent plus du tout, comme si d'un commun accord, ils avaient décidé de s'éviter mais il y a quelques semaines, il a entraperçu la jeune femme qui se rendait à son travail et l'envie de la revoir, l'envie d'être proche d'elle sont revenues aussi vite, ses sentiments n'ayant en rien disparus, bien au contraire. Cette absence n'a fait que les renforcer et le convaincre qu'il ne peut pas vivre sans elle. L'heure des retrouvailles vient de sonner.
Petite note : Donc Lorcàn ignore que le vieux fiancé de Satine est mort et qu'elle est donc libre à nouveau. Pour ce qui est du rp, je voyais bien un jeu du chat et de la souris, entre fuite et séduction, entre haine, amour et désir, un truc bien fun et compliqué (a).
REVENDICATIONS
∞ la célébrité: Logan Lerman. ∞ le pseudo : Totalement négociable, il fallait bien mettre quelque chose (a). ∞ disponibilité: 4, minimum. ∞ langue : Je n'attends pas forcément des pavé, mais si possible, j'aimerais une personne qui fasse attention à son orthographe. La tournure des phrases est plus importante pour moi que leur longueur, sachez le Après, je sais que j'aime écrire beaucoup, mais si la personne en face ne le fait pas, ça ne me dérange pas du tout! ∞ autres : J'aimerais vraiment qu'une personne prenne ce scénario car il est très important pour mon personnage tout ce que je demande c'est que le scénario soit vraiment respecté, parce que j'apprécie moyennement genre quand je fais un mec "fidèle" de me retrouver avec un Don Juan Sinon, sachez que ma boîte mp vous est ouvertes pour toutes les questions que vous pouvez avoir !
crédits à mettre ici
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