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THE PHOENIX ▲ farewell the birdEsfyr McGonagallPSEUDO : middle ages / laurine. PARCHEMINS : 53 ICI DEPUIS : 16/04/2012
| Sujet: (esfyr) wolf girl. Lun 16 Avr - 15:31 | |
| esfyr neja mcgonagall ❘▶❝ the order of phoenix NOM : McGonagall PRÉNOM(S) : La demoiselle en possède deux, toutefois, le premier est le plus utilisé. Esfyr se fait donc appeler ... Esfyr. Les rares membres de sa famille, en revanche, se plaisant à l'appeler Neja (à prononcer Naya). ASCENDANCE : sang-mêlée.ÂGE : elle est âgée de vingt-deux ans. ANCIENNE MAISON : ravenclaw. PROFESSION : elle est vendeuse dans la boutique magique de prêt à porter anciennement dirigé par Madame Guipure. PETIT PLUS : animagus. elle peut ainsi se transformer à volonté en louve.
• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • BAGUETTE : sa baguette est en bois de pommier, contenant un croc de loup, assez souple, mesurant vingt sept centimètres. PATRONUS : son patronus prend la forme d'un grand loup. EPOUVANTARD : le néant. le noir. Elle, seule, derrière les barreaux d'une cage. Le monde qui n'a plus de sens, les corps démembrés de sa famille. POTION : allez savoir pourquoi, c'est le philtre d'Amortencia. SORTILÈGE : relashio.RELIQUE La pierre de résurrection. MIROIR DU RISED : une famille heureuse, dont elle en tête. Et la paix, ô la paix.
❝ mauvaises intentions QUE PENSEZ-VOUS DE SALAZAR SERPENTARD : Les volutes de fumée disparaissent dans l’air cloîtré. La clope dans une main, l’autre main sur mes yeux. Ma position est loin d’être confortable, là, le dos contre ce canapé mal fichu. Je glisse la gitane entre mes lèvres, expire, et y tire une taffe. Ma réponse se fait attendre, qu’importe. « rappelez-vous mon nom de famille. » glissé-je à mi-voix. McGonagall. Ne trouvez-vous pas la réponse seul ? Non ? « c’est Salazar qui méritait de bouffer les pissenlits par la racine. » Marmonnement presque inaudible, pourtant, vous avez entendu. « ou s’faire bouffer par ses serpents. » le fin sourire se glisse sur les lèvres téméraires, et la main se lève ; regard perçant d’une louve. QUEL EST VOTRE AVIS SUR LES NÉS-MOLDUS : La clope se termine, et je redresse ma carcasse dans une attitude plus confortable. L’air est saturé de l’odeur amère de la clope, pourtant vous ignorez tout, et vos yeux sont vrillés sur ma silhouette fine. « j’serais indigne d’être du phénix, si je me foutais d’eux. » pause lors de laquelle, je fais face. « ils sont nous, nous sommes eux. » fin sourire énigmatique, tout autant que la phrase en question. Le regard interrogateur dans vos prunelles me fait glousser comme une gamine. « ils sont nous, nous sommes eux » persisté-je à rabâcher, sans autre explication. Démmerdez-vous avec ça. COMMENT AVEZ-VOUS VÉCU VOTRE SCOLARITÉ A HOGWARTS : « comme quelqu’un de normalement constitué. » le sarcasme est présent, dans ma voix. A vrai dire, l’école n’a jamais vraiment été mon fort, la théorie tout ça… j’ai toujours eu cette impulsivité propre à ceux qui réagissent, aussi cela ne fut-il guère de tout repos. Là ou certains ne foutaient rien, je devais bosser plus que de raison. Et jamais je n’ai eu guère plus que la moyenne, sauf en métamorphose, là, j’excellais. QUE PENSEZ-VOUS DE L'ATTENTAT DE HOGWARTS : Le rire résonne dans la salle. Hilare, pliée en deux, réduite à n’en plus pouvoir parler, je met un long moment avant de pouvoir reprendre un sérieux conséquent. « pardonnez-moi. » les mots sont là, pas le ton, toutefois. J’suis pas désolée le moins du monde. Brusque mouvement, je me lève, fais les cents pas dans la pièce, lion en cage, dragon agité. « Conneries. » arrêt immédiat, demi-tour sur les talons, regard incendiaire d’une louve à l’affût. « Le phénix n’est pas con au point de faire sauter Hogwarts. » Demi-tour, à nouveau, et, silence. QUEL EST VOTRE AVIS SUR LES SANGS-PUR A LA TÊTE DU GOUVERNEMENT MAGIQUE : Geste soudain, retour à la motion. Je me déplace, attrape la chaise. De quatre pas, je recule. Un, deux, trois, quatre. Le mouvement brusque vous surprend, le verre se fracasse, la chaise bascule dans le vide. Défenestrée. « Là. » Bras tendu, je montre les myriades d’éclats de verre. « vos sangs-purs. » J’avance, écrasant un à un les bouts de verre sous mes bottes vernies.
SI VOUS POUVIEZ CHANGER QUELQUE CHOSE TOUT DE SUITE, QUE FERRIEZ-VOUS : Le vent pénètre la pièce, l’odeur âcre de la clope s’estompe. Je relève la tête, vrille mes prunelles d’acier dans les vôtres. Le sourire, ce même sourire, encore et toujours, sur mes lèvres délicieuses. Ai-je réellement besoin de les nommer ? Non, vous le savez, vous le sentez jusque la racine de vos cheveux. Les sangs-purs. « ils sont la vermine de ce monde. » murmuré-je, avant de quitter les lieux.
• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • SALAZAR A POSSÉDÉ QUEL OBJET POUR RENVERSER GODRIC : [x] la baguette de Sureau, [] la pierre de résurrection, [] une bague magique, [] de la patacitrouille. QUI EST LE MINISTRE DE LA MAGIE ACTUELLEMENT : [] Cordélia Grindelwald [] Arthur Diggory, [x] Thaddeus Black [] Un gnome. GRINGOTTS A ÉTÉ : [x] cambriolée [] détruite [] incendiée [] mangée par un troll LA FAMILLE KARKARROF EST : [x] une lignée de sang-pur [] des sangs-mêlés [] une famille moldu [] un groupe de rock populaire en Russie. LES NÉS-MOLDUS SONT : [] des sorciers comme les autres [x] traqués pour être tués [] à la tête du pouvoir [] les meilleurs amis du ministre. LA CAPE D'INVISIBLITE EST : [] enfermé au ministère [] disparue depuis longtemps [x] au main de la famille Potter [] la serviette de bain de Chuck Norris.
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Dernière édition par Esfyr McGonagall le Lun 16 Avr - 19:07, édité 6 fois |
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THE PHOENIX ▲ farewell the birdEsfyr McGonagallPSEUDO : middle ages / laurine. PARCHEMINS : 53 ICI DEPUIS : 16/04/2012
| Sujet: Re: (esfyr) wolf girl. Lun 16 Avr - 15:32 | |
| Il était une fois un sorcier... ❘ ❝ je suis comme ça MOI, LE MAGICIEN : Esfyr, Esfyr, poupée de cire, poupée de nacre. La splendeur de la pureté, la splendeur de la candeur. Visage de marbre, elle n’était que la fleur sur le point de s’ouvrir au monde. Petite fille ouverte sur le monde, petite fille curieuse. Le monde est trop cruel pour une telle fille. La poupée s’est fissurée, le masque est tombé. La brume s’enveloppe autour de sa silhouette comme d’une ombre protectrice, Esfyr, elle est perdue. Dans les ténèbres, la fillette hurle, mais personne n’entends, personne ne s’en aperçoit. Sous les draps, elle grelotte, sous les frondaisons des arbres, elle galope. Le pied sûr, l’allure altière, la démarche noble. Wolf girl. La perfection de ses traits, l’amplitude de ses terreurs. La louve avance, marche, écrase les épines. Son échine se dresse, ses crocs se découvrent, et elle fuit, elle fuit. La cage se referme sur elle, elle hurle. Dans les profondeurs de la nuit, l’appel, est repris par ses congénères. Éperdus d’amour, inquiets, ils hurlent. Complexité d’une poupée de nacre. Ses attitudes et ses aptitudes sont néanmoins toujours si mystérieuses, si étranges. Esfyr, elle est la lumière, elle est l’obscurité. Elle est le bien, elle est le mal. Un paradoxe à elle tout entier, deux facettes d’une même pièce en constant combat éternel. Elle est brisée, l’oubliée. Torturée, elle n’en dors plus, ses nuits hantés par de terrifiants cauchemars, ballets incessants dont tous les personnages sont masqués. Esfyr, c’est une énigme. • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • ANECODTES : ► Esfyr porte un tatouage sur la cheville droite ; il s'agit d'une salamandre. ► elle n'a jamais eu de chance au niveau relations amoureuses. ► poupée de cire, Esfyr est le genre de fille qu'on remarque, mais dont on ne s'approche pas, tant l'aura de mystique qui l'entoure est puissante. ► Esfyr noue une relation des plus fusionnelles avec son frère et sa soeur. ► dès lors la lycanthropie de Perceval manifestée, elle s'était adjugée comme but ultime de devenir animagus. ► Seul pari, qu'elle a su réussir avec brio. ► au fond, Esfyr, n'est qu'une gamine brisée, dont les répliques sont vides de sens et dont l'appel à l'aide est flagrant.
❝ citation de votre choix. Le vent froid fait claquer mon manteau de fourrure. Fermant la porte de la boutique, je referme les pans de mon manteau. Le crépuscule, déjà, laisse place à la noirceur de la nuit, déjà, le ciel, se couvre de myriades d’étoiles. Dans les rues, les gens se pressent, emmitouflés chaudement. La clé tourne dans la serrure, et la porte se ferme. Je glisse la clé dans ma poche, et me met en route. Les rues ne tardent pas à être désertes, et seul le vent siffle. La voiture me dépasse, tourne à la prochaine intersection, et disparaît. La Lune fait une apparition, le vent tombe. Le silence, alors, m‘inquiète aussitôt. Je m’arrête, la main dissimulée, serrée sur la baguette. Mais alors, je ne peut réagir. Le vent, les lampadaires, le sol, le ciel, le chute. Les ténèbres se referment. La lumière disparaît. Vives lumières, cillage intempestif, voix étouffées. Les choses me parviennent comme de si loin. Tentative de se redresser ; arrêt total. Le mouvement révèle une sérieuse bosse sur le crâne … et une nuque mise à rude épreuve. J’ai beau ouvrir les yeux, je n’y voit rien. Frénésie soudaine d’une terreur qui se glisse, tel un serpent, au travers de mes entrailles. Des mains fermes se referment sur ma carcasse, m’empêchant de bouger. Terreur insidieuse, qui s’infiltre par chaque foutu pore de ma peau. J’ai du sang dans les oreilles, j'entends quedal. C’est encore pire, ainsi, de ne rien voir, de ne rien entendre - ou d’entendre ce bourdonnement incessant. Il n’y a que ma bouche qui n’est pas entravée. Mes yeux sont bandés. Impossible de savoir ou je suis. Les mains me lâchent ; la lumière, si vive, autrefois, au travers du bandeau, s’éteint. Et là, je reste. Là, immobile, terrorisée, mais refusant d’hurler, refusant de crier. (…) « Ca fait trois jours. » Entendre à nouveau correctement, après ce bourdonnement constant, est un soulagement. La voix, toutefois, est loin d’être familière. Dur, un timbre puissant. La tête levée, dans cette position assise, mes muscles ankylosés protestent. Une porte s’ouvre, des pas sur le sol, une porte qui claque. Respirations régulières perçues par mon ouïe redevenue normale. Le silence est lourd, je sens leurs regards posés sur ma carcasse. J’ignore qui ils sont, combien ils sont, ce qu’ils veulent. « Sais-tu pourquoi t’es là ? » L’interpellation me fait tourner la tête vers la gauche, mes muscles grincent, protestent. Refusant d’adresser la parole à quelqu’un que j’vois pas, je secoue la tête. Ultime insulte de ma part, rire gras de sa part. « t’es l’un de ces fils de pute de phénix, voilà. » La colère, vive, s’embrase, glisse dans mes veines comme du feudeymon. Je serre les poings, mais j’peux retenir ma réplique. « c’est ça, ouais, carrément. Et vous avez si peur de moi que vous me laissez ce foutu bandeau pour pas que je voie vos visages de traîtres. » Téméraire est celle qui crache à la gueule de la Peur, folle est celle qui crache à celle de la Mort. J’attendais une gifle, bordel, j’attendais pas ça. « endoloris. » le murmure est à peine audible. A peine audible, et la douleur, elle, est fulgurante. J’veux pas leur faire le plaisir de gueuler ; peine perdue, les hurlements franchissent d’eux-mêmes mes lèvres. Recroquevillée sur ma chaise, tentant d’enrayer la douleur terrible, enfin, elle cesse. Pantelante, haletante, trop épuisée pour bouger ne serait-ce qu’ un orteil. « ça t’apprendras le respect. » pour sûr, là, j’suis plus prête à te lâcher un seul mot. L’interrogatoire ainsi, continue. A chaque mauvaise réponse, l’Endoloris se rappelle à son bon souvenir. A chaque réponse incomplète, l’Endoloris se charge de la compléter. Mais toutes les tortures du monde, ne me font pas dire ce qu’ils veulent savoir. L’Ordre. Ou ils se cachent. Qui ils sont. J’suis pas une putain de traitresse. Leurs tortures, ils peuvent les continuer, quand bien même les cessent-ils, je crache pas le morceau ; au final, ils me tuent, et là, se débarrassent de mon cadavre dans les égouts de Londres. Y’a un os, là, pourtant. S’ils ont réussi à m’arracher quelques brides de mon passé, ils ne savent pas. Et ils ne sauront pas. Pourtant, lorsqu’ils me laissent là, dans mon état déplorable, j’en fais rien. Et lorsque, ainsi de suite, le lendemain, le surlendemain ils reviennent, je ne décoche plus un mot. Lorsque, finalement, comprenant qu’ils n’obtiendront rien de ma carcasse, l’un se prépare, je saisit la chance tendue, là. La transformation est plus douloureuse que prévue ; leurs maigres repas m’ont fait maigrir, et ce, en quelques jours seulement. Les liens qui retiennent mes mains et mes pieds s’enfoncent dans ma peau, finissent par se déchirer, lorsque, épaississait, les muscles puissants de la louve remplacent les pattes de mouches de l’humaine. Le bandeau se déchire, de même ; mais leurs visages, plongés dans la pénombre, me sont refusés. Mon nez s’allonge, mes yeux deviennent deux puits d’or liquide, ma cage thoracique se casse puis se reforme ; le tout en quelques secondes, dans un halètement déchirant. Puis, je suis louve. Preste, rapide, fulgurante. Lorsque le sorcier le plus proche fait mine de jeter son sort, ma mâchoire se referme sur sa joue. Le goût métallique du sang pénètre ma gorge, et mon ventre gronde ; il a faim. Le sang appelle le sang. Sitôt les mâchoires desserrées, sitôt jetée sur le suivant. Ce coup-ci, mes crocs trouvent la chair tendre de la cheville, la mâchouillent, puis, un horrible « crac » retentit lorsque, d’un coup de mâchoire, os, tendons et moelle épinière sont brisés. Lorsque le troisième reprend ses esprits, à mon tour, je laisse l’instinct de louve de côté ; il est temps de déguerpir. La porte semi-ouverte, le dernier sorcier tente de s’enfuir. Preste est le loup, plus que l’humain ; il m’est aisé de lui échapper, de galoper. Etre louve est un sentiment extraordinaire. Oh, n’ai-je point précisé là, que ce fut la réussite ultime, après des années d’apprentissage ? Voilà dix ans, que j’ai commencé à étudier. Aujourd’hui, je suis louve. Et je me tire de là. (…) « ESFYR!? » la voix de Perceval. Enfin. Mon cœur rate un battement. Là, dégingandée, les cheveux ébouriffés, une chemise volée pour seul vêtement sur le dos, du sang coagulé dans les oreilles, mais bien vivante. Sur le pas de la maisonnée des McGonagall, j’ai l’air d’une clocharde. Les larmes dévalant mes joues, je me jette dans ses bras. « je l’ai fait ! Je l’ai fait ! » murmure incompréhensible, certes, mais qui signifie tout. Il n’en faut pas plus pour que Percy pige le tout, et que, doucement, il m’entraine dans la chaleur du foyer. « Esfyr ! » la voix de Lulla, ses yeux rougis par les larmes. Je tombe dans ses bras, comme dans ceux de mes parents. « mais ou était-tu passée ? » Commence alors le plus dur. De mes ravisseurs, je ne connais, ni le nom, ni le visage… juste l’odeur de leur sang.
MIDDLE AGES, LAURINE ∞ ton âge : 20 ans. ∞ ta célébrité : astrid bergès-frisbey. ∞ portoloin ou comment as-tu transplané ici : bazzart, mais j'ai aussi su trouver mon chemin seule (a). ∞ ta disponibilité : everyday sweetie. ∞ ton avis sur le forum : ∞ un petit mot pour la fin ? : ∞ le code : c'est ok =)
icons remmeber.hope & tumblr Ⓒ soul.
Dernière édition par Esfyr McGonagall le Lun 16 Avr - 21:15, édité 8 fois |
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PURE-BLOOD ⊰ and kill them allBeryl GauntPSEUDO : castamere rains PARCHEMINS : 312 ICI DEPUIS : 15/04/2012
| Sujet: Re: (esfyr) wolf girl. Lun 16 Avr - 15:32 | |
| Bienvenuuue =) Bon choix d'avatar & de famille |
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THE PHOENIX ▲ farewell the birdMéluzine WeasleyPSEUDO : SOUL. PARCHEMINS : 261 ICI DEPUIS : 08/04/2012
| Sujet: Re: (esfyr) wolf girl. Lun 16 Avr - 15:34 | |
| La future soeur de Perceval Bienvenue ! Si tu as la moindre question, hésite pas |
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THE PHOENIX ▲ farewell the birdSeven E. BlackPSEUDO : mikan PARCHEMINS : 275 ÂGE : 29 ICI DEPUIS : 15/04/2012
| Sujet: Re: (esfyr) wolf girl. Lun 16 Avr - 15:35 | |
| Bienvenue sur le forum Bon courage pour ta fiche |
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PURE-BLOOD ⊰ and kill them allBryson BlackPARCHEMINS : 172 ICI DEPUIS : 08/04/2012
| Sujet: Re: (esfyr) wolf girl. Lun 16 Avr - 16:04 | |
| LAURINE Bienvenue, |
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THE PHOENIX ▲ farewell the birdClare BlackPSEUDO : blue bird. PARCHEMINS : 242 ICI DEPUIS : 16/04/2012
| Sujet: Re: (esfyr) wolf girl. Lun 16 Avr - 17:20 | |
| Bienvenue, bon courage pour ta fiche. |
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THE PHOENIX ▲ farewell the birdEsfyr McGonagallPSEUDO : middle ages / laurine. PARCHEMINS : 53 ICI DEPUIS : 16/04/2012
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PURE-BLOOD ⊰ and kill them allBeryl GauntPSEUDO : castamere rains PARCHEMINS : 312 ICI DEPUIS : 15/04/2012
| Sujet: Re: (esfyr) wolf girl. Lun 16 Avr - 21:19 | |
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THE PHOENIX ▲ farewell the birdEsfyr McGonagallPSEUDO : middle ages / laurine. PARCHEMINS : 53 ICI DEPUIS : 16/04/2012
| Sujet: Re: (esfyr) wolf girl. Lun 16 Avr - 21:37 | |
| merciii |
| | | | Sujet: Re: (esfyr) wolf girl. | |
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